Lors du Conseil Municipal de Rodez du 16 novembre, nous avons pu assister à un triste spectacle.
Pendant que l’opposition de droite et la majorité s’écharpent sur le nombre de caméras à poser dans nos rues, mélangeant allégrement insécurité et sentiment d’insécurité, tentant de classer les actes répréhensibles pour en diminuer leur gravité, Rodez Citoyen est resté sur sa position défendant son programme.
A Rodez Citoyen nous souhaitons privilégier la présence dans les quartiers pour arrêter les actes avant qu’ils ne se produisent plutôt que d’être dans la répression une fois que l’acte a eu lieu.
Lorsque notre maire fait porter le chapeau aux marginaux, tout en les plaignants pour jouer sur les deux tableaux, Rodez Citoyen continue de dénoncer la rigueur imposée aux associations et aux médiateurs sociaux en ne leur donnant pas les subventions nécessaires pour pouvoir effectuer correctement leur travail.
Lorsque la première adjointe continue de privilégier la pose de caméras de vidéo-surveillance, Rodez Citoyen continue de réclamer plus de moyens pour les quartiers et plus de présence en augmentant le nombre de médiateurs et de policiers municipaux.
Rodez Citoyen réitère aussi sa proposition que la collectivité demande au ministre de l’Intérieur plus de policiers nationaux pour notre territoire.
La seule réponse de Christian Teyssèdre a été : « Vous voulez créer de la dette ? ». Nous réitérons notre réponse : « Non, nous voulons conserver notre palmarès de ville où il fait bon vivre »